Dylan Gana, notre ailier polyvalent et expérimenté, se présente !
Présente toi ?
“Je m’appelle Dylan Gana, j’ai 30 ans, je mesure 2m03, j’ai grandi dans la région parisienne, à Stains.
Au niveau du sport, j’ai commencé par le foot, de mes 6 à 13 ans, puis j’ai basculé dans le basket à 13 ans, dans le club de ma ville, Stains. J’ai fait toutes mes classes là-bas, de Minimes à Séniors. Durant mes 2 dernières années Cadets, je m’entrainais avec les Séniors, en R3. Et c’est un match de Coupe de France qui m’a permis de me montrer et de signer à Trappes, en N2.
Après je suis parti à Marmande, en N2, où Laurent Mopsus m’a ramené en tant que meneur, et où j’ai fait 2 ans. J’ai préféré partir directement à Marmande pour jouer avec les adultes plutôt qu’en Centre de Formation.
Ensuite j’ai fait Montélimar, puis Avignon, en N1 et N2, avant d’enchainer en N1 avec Les Sables puis avec Cergy la saison dernière (plus de 100 matchs en N1).”
Tu dis que tu as commencé le basket en tant que meneur de jeu ? Qu’est-ce que ça t’apporte aujourd’hui ?
“Oui j’ai été formé en tant que meneur et sur tous les postes extérieurs, notamment car j’étais un peu plus petit à l’époque.
Ça m’apporte une plus grande polyvalence et aussi des facilités par rapport aux autres postes 3-4, surtout au niveau du dribble et la mobilité.”
Sur un terrain de basket, comment tu te décrirais ?
“Mentalement, j’aime surtout amener de la positivité dans un groupe. Même si il faut être sérieux, j’aime rigoler, je joue beaucoup à l’émotion positive. Même si l’équipe est menée, toujours rester positif et ne jamais lâcher.
Techniquement, j’ai un premier dribble très efficace. De manière générale, j’arrive souvent à éliminer mon adversaire sur mon premier pas. Puis j’ai cette polyvalence, qui me permet de jouer sur plusieurs postes (3-4) et de faire beaucoup de choses, avec des avantages sur chaque poste (physique pour un extérieur et mobilité pour un intérieur).
Un move signature ?
“Je n’ai pas vraiment de move signature, après ce que je fais beaucoup c’est de prendre un shoot directement en sortie de pick, sans poser de dribble. Et si il est dedans, je l’annonce, je le montre (rires) !”